Lettres, terres d'asile

Ce quatrième Lundi au Vieux-Co de la saison, coordonné par Laurent Goumarre, se penche sur une littérature, terre d’asile dans le cadre du thème « Émancipations créatrices » inscrit au programme du bac général et technologique, afin de partager les strates nombreuses qui constituent notre humus commun, à travers une conversation émaillée de lectures

En ligne dès le 13 FÉVR à 20h30

Rencontre et lectures avec

Wasis Diop, compositeur, chanteur, interprète et réalisateur
Constance Rivière, directrice du Musée de l’histoire de l’immigration
Serge Bagdassarian, sociétaire de la Troupe
Bakary Sangaré, sociétaire de la Troupe

Conduite par Laurent Goumarre, journaliste


La poésie ne doit pas périr. Car alors, où serait l’espoir du Monde ?

demandait Léopold Sédar Senghor en 1956 dans « Éthiopiques »

De nombreuses questions surgissent immédiatement quand on aborde les rives de l’art comme terre d’accueil et l’artiste comme vecteur de transmission. « Est-ce la quête du beau ou de l’accomplissement du geste artistique vers le sublime espéré qui fait matière commune ? Pourquoi l’acte de création de l’autre est-il par essence vecteur d’émotions et de nourrissement pour celle ou celui qui l’observe ? », interrogeait récemment Constance Rivière, directrice du Musée de l’histoire de l’immigration et autrice.

Cette soirée intitulée « Lettres, terres d’asile » réunit trois créateurs aux parcours aussi riches que pluriels : Wasis Diop, musicien, compositeur, réalisateur sénégalais, profondément jazz et fondamentalement libre, et les deux sociétaires de la Comédie-Française, Serge Bagdassarian et Bakary Sangaré. Elle sera, dans le quatuor qu’ils formeront avec Constance Rivière, l’occasion d’échanger sur l’acte artistique en tant que terreau commun et sur l’artiste vecteur de transmission.


Lectures

  • Mahmoud Darwich, Une mémoire pour l’oubli, traduit de l’arabe (Palestine) par Yves Gonzalez Quijano et Farouk Mardam-Bey © Actes Sud, 1994
  • Abdourahman A. Waberi, Aux États-Unis d’Afrique © Zulma, 2024
  • Fatou Diome, « Le Bleu de la roya », De quoi aimer vivre © Albin Michel, 2021
lettresterresdasile-11
lettresterresdasile-02
lettresterresdasile-10
lettresterresdasile-03
Article publié le 03 avril 2025
Rubriques

C'est lundi au Vieux-Co
EN LIGNE

  • Découvrez

    La boutique

  • Nouveauté

    Lunettes connectées disponibles à la Salle Richelieu

HORS LES MURS

JANVIER - JUILLET 2026

La Salle Richelieu fermant pour des travaux le 15 janvier (rénovation de la scène et mise aux normes du bâtiment), la Troupe se produira dès le 14 janvier dans 11 lieux à Paris et à Nanterre.

Outre ses deux salles permanentes, le Théâtre du Vieux-Colombier et le Studio-Théâtre, elle aura pour point fixe le Théâtre de la Porte Saint-Martin et le Petit Saint-Martin et sera présente dans des lieux partenaires : le Théâtre du Rond-Point, l’Odéon Théâtre de l’Europe, le Théâtre Montparnasse, le Théâtre Nanterre-Amandiers, le 13e art, La Villette-Grande Halle et le Théâtre du Châtelet.

Tous les spectacles sont déjà en vente

VIGIPIRATE

Consultez nos conditions générales de ventes pour les conditions d'accès.

vigipirate-urgenceattentat2